11.21.2009



Des marécages aux eaux mêlées, j’aperçois la partie haute de la colline, les estivants qui habitent le musée. Leur apparition inexplicable me laisserait supposer qu’ils sont l’effet de la chaleur de la nuit dernière sur mon cerveau ; mais il ne s’agit pas ici d’hallucination ni d’images :
j’ai affaire à des êtres réels, pour le moins aussi réels que moi.

l’invention de Morel - Adolfo Bioy Casares

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